Disposable? - Selected work from the OGA Disposable? Project.
Ce photoblog présente quotidiennement
un premier choix non définitif d'images pour les séries en cours.
Il vient en complément du site www.yannickvallet.com qui, lui,
présente un panorama complet de mon travail.
Affichage des articles dont le libellé est festivals. Afficher tous les articles
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22 mai 2012
OGA Disposable ? Project, le catalogue
Suite à l'exposition organisée par One Giant Arm pendant le Festival de Bristol, vous pouvez vous procurer le catalogue du Disposable? Project directement dans le shop du site.
Ce sont une vingtaine de photographes provenant de trois continents différents que vous retrouverez tout au long des quarantes pages. Ainsi que ma série 26 Benches in Paris.
4 mai 2012
Bristol Festival of Photography : OneGiantArm Presents
Depuis hier et pendant tout le mois de mai, la photographie britannique et internationale envahit Bristol pour le Bristol Festival of Photography. Avec une centaine d'expos, des conférences, des workshops et des dizaines d'autres évènements comme le Lomo Show.
Et en ce qui me concerne, je vous donne rendez-vous demain à partir de 17h00 pour le vernissage de l'expo collective organisée par One Giant Arm et à laquelle je participe dans le cadre de leur projet Disposable ? (et dont je vous ai déjà parlé ICI).
Bench #01 - Photo © Yannick Vallet
La totalité de mes '26 Benches in Paris' sera exposée dans la galerie du Louisiana. A noter également que vous pourrez retrouver la typologie complète de ces 26 bancs dans le catalogue édité pour l'occasion.
Bench #12 - Photo © Yannick Vallet
OneGiantArm Presents : DISPOSABLE ?
Bristol Festival of Photography - The Louisiana
Wapping Road, Bathurst Terrace - Bristol - Royaume Uni
Du 5 au 17 mai 2012
Vernissage : samedi 5 mai 2012 de 17h00 à 22h00

La totalité de mes '26 Benches in Paris' sera exposée dans la galerie du Louisiana. A noter également que vous pourrez retrouver la typologie complète de ces 26 bancs dans le catalogue édité pour l'occasion.

OneGiantArm Presents : DISPOSABLE ?
Bristol Festival of Photography - The Louisiana
Wapping Road, Bathurst Terrace - Bristol - Royaume Uni
Du 5 au 17 mai 2012
Vernissage : samedi 5 mai 2012 de 17h00 à 22h00
1 juin 2011
Vincent J. Stoker : Heterotopia
Décidément, les ruines sont à la mode !
Photo © Vincent J. Stoker
Après le travail du duo Meffre & Marchand dont j'ai déjà parlé ici, voici celui d'un autre jeune photographe français, Vincent J. Stoker, que l'on peut retrouver actuellement à Lasécu, l'espace d'art contemporain de Lille, à l'occasion des Transphotographiques 2011.
Photo © Vincent J. Stoker
Son travail, intitulé Heterotopia en citation du concept d'hétérotopie élaboré par le philosophe Michel Foucault*, nous montre d'immenses architectures industrielles à l'abandon.
Photo © Vincent J. Stoker
Au-delà de la citation astucieuse, le projet Heterotopia questionne avant tout notre société sur ce qu'elle fait de son passé et de ses racines, mais aussi du devenir de ce qu'elle a construit puis laisser détruire …
Photo © Vincent J. Stoker
Si vous ne pouvez pas vous rendre à Lille, une deuxième chance vous est offerte puisque dès le 9 juin, la Galerie Alain Gutharc présentera à Paris une partie du travail de Vincent J. Stoker lors d'une exposition collective intitulée Paysages.
Photo © Vincent J. Stoker
Exposition Vincent J. Stoker
Lasécu - 26 rue Bourjembois - 59000 Lille
Du 21 mai au 9 juillet 2011
Exposition collective PAYSAGES
Galerie Alain Gutharc - 7 rue Saint-Claude - 75003 PARIS
Du 9 juin au 23 juillet 2011
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h
* L'hétérotopie peut se définir comme étant un lieu précis et réel (au contraire de l'utopie), un espace spécifique dans lequel se joue une autre histoire -bien réelle elle aussi-, en marge des sociétés mais intégrés physiquement à celles-ci. Les exemples les plus parlants sont ceux du cimetière (le lieu des morts par opposition à celui des vivants) ou de l'asile. Mais ce peut être également les prisons, les bibliothèques, les théâtres, les clubs de vacances, les musées, … Pour plus de précisions, je vous conseille d'écouter les enregistrements radio de Michel Foucault datant de 1966 sur la question, ici, ici et là. Un régal !

Après le travail du duo Meffre & Marchand dont j'ai déjà parlé ici, voici celui d'un autre jeune photographe français, Vincent J. Stoker, que l'on peut retrouver actuellement à Lasécu, l'espace d'art contemporain de Lille, à l'occasion des Transphotographiques 2011.

Son travail, intitulé Heterotopia en citation du concept d'hétérotopie élaboré par le philosophe Michel Foucault*, nous montre d'immenses architectures industrielles à l'abandon.

Au-delà de la citation astucieuse, le projet Heterotopia questionne avant tout notre société sur ce qu'elle fait de son passé et de ses racines, mais aussi du devenir de ce qu'elle a construit puis laisser détruire …

Si vous ne pouvez pas vous rendre à Lille, une deuxième chance vous est offerte puisque dès le 9 juin, la Galerie Alain Gutharc présentera à Paris une partie du travail de Vincent J. Stoker lors d'une exposition collective intitulée Paysages.

Exposition Vincent J. Stoker
Lasécu - 26 rue Bourjembois - 59000 Lille
Du 21 mai au 9 juillet 2011
Exposition collective PAYSAGES
Galerie Alain Gutharc - 7 rue Saint-Claude - 75003 PARIS
Du 9 juin au 23 juillet 2011
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h
* L'hétérotopie peut se définir comme étant un lieu précis et réel (au contraire de l'utopie), un espace spécifique dans lequel se joue une autre histoire -bien réelle elle aussi-, en marge des sociétés mais intégrés physiquement à celles-ci. Les exemples les plus parlants sont ceux du cimetière (le lieu des morts par opposition à celui des vivants) ou de l'asile. Mais ce peut être également les prisons, les bibliothèques, les théâtres, les clubs de vacances, les musées, … Pour plus de précisions, je vous conseille d'écouter les enregistrements radio de Michel Foucault datant de 1966 sur la question, ici, ici et là. Un régal !
5 avril 2011
Praha
Aujourd'hui, dans la série "Escapades dans les capitales européennes", nous atterrissons en République Tchèque où a lieu la quatrième édition du Prague Photo Festival (l'équivalent de notre Paris Photo).
Hadice - The Hose, 2007 – Photo © Michal Šeba
Donc, si vous avez décidé de vous faire un petit week-end printanier en Bohême, n'hésitez pas à vous faire le tour du Exhibition Hall Manes (Výstavní síň Máne, en tchèque !) pour y découvrir une jolie palette des plus intéressants photographes tchèques.
O Adamovi, Evě a těch druhých - Photo © Nadia Rovderová
Tout d'abord, il vous faudra voir les images de Nadia Rovderová représentée par la Artinbox Gallery. Un travail assez fascinant, très plastique, jouant essentiellement sur les floues et la couleur.
On The Road - Photo © Nadia Rovderová
Et puis, incontournable, une visite s'impose sur le stand du České Centrum Fotografie pour admirer quelques une des images du grand photographe tchèque Josef Sudek.

Puis détour obligatoire par la Galerie 5. Patro, pour le très intéressant travail sur le quotidien de Tereza Kabůrková.

Photos © Tereza Kabůrková
Et enfin, ne pas oublier les sombres paysages de Michal Šeba à la Galerie Gambit Photo ou les drôles de portraits de plantes de Jan Přibylský à la Chemistry Gallery.

Donc, si vous avez décidé de vous faire un petit week-end printanier en Bohême, n'hésitez pas à vous faire le tour du Exhibition Hall Manes (Výstavní síň Máne, en tchèque !) pour y découvrir une jolie palette des plus intéressants photographes tchèques.

Tout d'abord, il vous faudra voir les images de Nadia Rovderová représentée par la Artinbox Gallery. Un travail assez fascinant, très plastique, jouant essentiellement sur les floues et la couleur.

Et puis, incontournable, une visite s'impose sur le stand du České Centrum Fotografie pour admirer quelques une des images du grand photographe tchèque Josef Sudek.

Photo © Josef Sudek


Et enfin, ne pas oublier les sombres paysages de Michal Šeba à la Galerie Gambit Photo ou les drôles de portraits de plantes de Jan Přibylský à la Chemistry Gallery.
La photographie tchèque est en pleine ébullition et pour certains de ces artistes, l'utilisation des appareils photo de peu ou les pellicules périmées (les derniers stigmates des pénuries datant de l'ère communiste ?!) permet de construire un univers des plus singuliers. On a ainsi pu voir récemment durant le Festival Circulation(s), les panoramiques de la toute jeune Jitka Horázná intitulés Aprés-Midi de Dimanche.
PRAGUE PHOTO FESTIVAL
Du 4 au 10 avril 2011
The Manes Exhibition Hall - Masarykovo nabrezi 250 – Prague (Tramway : Botel Matylda)
Du 4 au 10 avril 2011
The Manes Exhibition Hall - Masarykovo nabrezi 250 – Prague (Tramway : Botel Matylda)
12 mai 2010
Satoru Toma
En avant-goût des Transphotographiques de Lille qui débuteront mercredi 19 mai, je vous conseille tout particulièrement de faire un saut dans le off, pour découvrir un photographe belgo-nippon, Satoru Toma. Il partage actuellement l’espace d’art contemporain Lasécu avec le français Sébastien Godéré.
From ..., 2008 - Photo © Satoru Toma
Satoru Toma, japonais d’origine, a fait ses études d’art à Marseille et Bruxelles. Il vit et travaille actuellement en Belgique.
Corner Shop, Brussels, 2008 - Photo © Satoru Toma
Son travail, centré essentiellement sur les espaces abandonnés et les terrains vagues, s’intéresse à ces lieux a priori délaissés par l’être humain, pourtant omniprésent en milieu urbain et péri-urbain.
L’envers du décor, 2007 - Photo © Satoru Toma
Il s’en explique sur son site : “Akichi” signifie en japonais terrain vide, terrain vague, terrain inoccupé. C’est un espace libre sans fin. Le paysage marginal, ou les coulisses urbaines, plutôt que la scène principale… Cet envers du décor, par des détails révélateurs, renvoie à un état politique et social du paysage. Ce sont des paysages qui ne s’imposent pas aux regards mais que j’essaye de questionner à travers mon travail.”
Lost World #1, 2006 - Photo © Satoru Toma
Ses photos, qui pourraient paraître au premier abord conceptuellement ennuyeuses, révèlent en fait un état d’esprit plutôt espiègle ! Espiègle et un tantinet mélancolique ...
Sa série “Lost World”, sur un parc d’attraction abandonnée de Berlin Est, en est un joli exemple.

Lost World, 2006-2007 - Photo © Satoru Toma
Plus sérieux, mais finalement tout aussi ludique (quel enfant ne s’est pas demandé sur la route des vacances “Mais qu’est-ce qu’il y a derrière ces panneaux publicitaires ?”) sa série “L’envers du décor”.

L’envers du décor, 2007 - Photo © Satoru Toma
Et puis encore sa série “A tree” sur le destin d’un arbre.
A Tree, 2005 - Photo © Satoru Toma
Ou ses paysages de “From ...” et les boutiques de “Corner Shop” réalisées en collaboration avec Thomas Bernardet.

From ..., 2008 - Photo © Satoru Toma
Satoru Toma est donc un photographe à découvrir d’urgence à Lasécu, et plus en détail sur son site.
From ..., 2008 - Photo © Satoru Toma
Exposition Satoru Toma et Sébastien Godéré
Du 8 mai au 3 juillet 2010
LASÉCU - 26, rue Bourjembois - 59000 Lille
Ouvert le vendredi et le samedi de 14h à 19h
From ..., 2008 -
Les Transphotographiques
Un projet de la Maison de la Photographie
A Lille du 19 mai au 20 juin 2010
Satoru Toma, japonais d’origine, a fait ses études d’art à Marseille et Bruxelles. Il vit et travaille actuellement en Belgique.
Son travail, centré essentiellement sur les espaces abandonnés et les terrains vagues, s’intéresse à ces lieux a priori délaissés par l’être humain, pourtant omniprésent en milieu urbain et péri-urbain.

Il s’en explique sur son site : “Akichi” signifie en japonais terrain vide, terrain vague, terrain inoccupé. C’est un espace libre sans fin. Le paysage marginal, ou les coulisses urbaines, plutôt que la scène principale… Cet envers du décor, par des détails révélateurs, renvoie à un état politique et social du paysage. Ce sont des paysages qui ne s’imposent pas aux regards mais que j’essaye de questionner à travers mon travail.”

Ses photos, qui pourraient paraître au premier abord conceptuellement ennuyeuses, révèlent en fait un état d’esprit plutôt espiègle ! Espiègle et un tantinet mélancolique ...
Sa série “Lost World”, sur un parc d’attraction abandonnée de Berlin Est, en est un joli exemple.


Plus sérieux, mais finalement tout aussi ludique (quel enfant ne s’est pas demandé sur la route des vacances “Mais qu’est-ce qu’il y a derrière ces panneaux publicitaires ?”) sa série “L’envers du décor”.


Et puis encore sa série “A tree” sur le destin d’un arbre.
Ou ses paysages de “From ...” et les boutiques de “Corner Shop” réalisées en collaboration avec Thomas Bernardet.


Satoru Toma est donc un photographe à découvrir d’urgence à Lasécu, et plus en détail sur son site.

Exposition Satoru Toma et Sébastien Godéré
Du 8 mai au 3 juillet 2010
LASÉCU - 26, rue Bourjembois - 59000 Lille
Ouvert le vendredi et le samedi de 14h à 19h

Les Transphotographiques
Un projet de la Maison de la Photographie
A Lille du 19 mai au 20 juin 2010
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