Ce photoblog présente quotidiennement

un premier choix non définitif d'images pour les séries en cours.

Il vient en complément du site www.yannickvallet.com qui, lui,

présente un panorama complet de mon travail.


28 février 2013

En Ardèche

Salle des Machines, Gouffre Marzal, Saint-Remèze, Ardèche, 2011
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

27 février 2013

Circulation(s) 2013 - Introduction

Alors qu'a débuté la semaine dernière le festival Circulation(s) au Parc de Bagatelle, voici le texte d'introduction écrit par François Cheval, conservateur du Musée Nicéphore Niépce de Chalon-sur-Saône et parrain 2013 de la manifestation.
Un état des lieux savoureusement drôle mais terriblement lucide de la photographie !


Il est intitulé :

Instructions aux jeunes photographes avides de succès

Il est assez commode de nos jours pour de jeunes gens ambitieux de devenir un photographe de renommée. Pour ma part, ayant fréquenté les musées, écumé les galeries, subi de trop nombreuses lectures de portfolios et perdu un temps inestimable dans des jurys sentant bon la tricherie, je n’ai plus beaucoup d’illusions sur la jeunesse, et en particulier sur sa capacité à renouveler la scène photographique. Mais à mon âge, quelques considérations morales, - les dernières, espérons-le-, m’imposent de délivrer les leçons d’une existence vouée à l’art et à la photographie. Le succès est à la portée de tous. Il suffit pour cela de suivre les conseils que je vais énoncer. Mais, si vous les considérez comme inutiles, si vous croyez que le talent et le travail suffisent seuls à imposer votre art, reportez-vous aux éditions précédentes de « Circulation(s) », ou, sans nul doute, à celles qui suivront. Vous trouverez de belles professions de foi en la jeunesse, en ses vertus supposées et en sa fameuse puissance innée de création.

Pour ceux qui n’ont pas tourné les talons, il y a plusieurs manières d’aborder le milieu de la photographie et vous devez les connaître toutes. En premier, il faut s’imposer de suite auprès des conservateurs, des commissaires, des curateurs et des critiques. Invitez-les ! Ne reculez devant aucune marque de séduction, même si je dois vous mettre en garde contre toute espèce de démonstration de tendresse envers cette engeance. Non que cela soit formellement interdit car il n’y a rien de méprisable à montrer aux vieux barbons un certain empressement. Mais il faut que ces témoignages d’attachement, votre affection, restent confidentiels. Prodiguez donc généreusement à tous et que chacun, - ah l’imbécile ! -, se croit l’élu : un commissaire n’aime rien tant que se figurer l’unique découvreur et être le seul aimé. Il se sait faillible et vit dans la hantise de manquer les talents naissants. Jouez donc avec finesse de l’affection et de la culpabilité.

Soyez laudatifs aussi, sans limite ! Vous avez lu ses œuvres, dévoré ses articles, annoté ses notices. Vous saluez le style, mais par-dessus tout, vous célébrez les choix courageux. Sans lui, - il le croira aisément -, vous ne seriez jamais parvenu à ce haut niveau de pensée et d’exécution. C’est alors que, saisi d’effroi par tant de maturité précoce, le commissaire ne pourra faire l’économie d’une recommandation, d’une exposition ou, promesse biblique, d’une acquisition.

Si vous faites partie d’une promotion récente issue de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie, de Paris VIII ou des Gobelins, vous susciterez quelque curiosité dans les premiers temps, mais l’oubli guette, déjà prêt à engloutir la chair fraîche. Vous croyez la porter belle avec votre diplôme. La belle affaire ! N’imaginez pas vous débarrasser du monde des idées, des concepts, de la sémiologie, des « Visual Studies » ; une vie où, enfin, vous n’auriez plus à interpréter et démêler Foucault, Baudrillard et Derrida. Il vous faut déconstruire la photographie ! N’imaginez pas une carrière faite de prises de vue, de commandes, d’expositions et de ventes. Détrompez-vous, en France, on ne photographie qu’à la condition préalable d’avoir exprimé fort et haut une intention. Sans cela, vous n’accéderez jamais au rang envié d’auteur. Je dois donc vous recommander de prime abord de vous constituer une solide bibliothèque, suffisamment garnie pour qu’elle épate l’hypothétique visiteur de l’atelier. Concentrez-vous sur les publications françaises et anglo-saxonnes. En revanche, vous dédaignerez la littérature allemande, intraduisible et d’ailleurs inconnue. Sans pédanterie aucune, citez abondamment même si vos seules références sont télévisuelles. Mais n’ayez crainte, le conservateur, le commissaire, le curateur et le critique partagent la même culture.

En revanche, méfiez-vous du galeriste, par expérience plus retors, et sans illusion. Il faut avec lui user d’autres armes. La séduction l’ennuie. Des jeunes gens et des jeunes filles, il en connaît les vicissitudes et le prix. Il refusera tout rendez-vous prétextant la masse des dossiers, sa présence à la foire de Bâle et la réticence des collectionneurs. Peu enclin à la curiosité, il ne consentira que contraint et forcé à vous recevoir, fruit d’une bienveillante intervention, conséquence de la première leçon. Là, il vous faudra mentir. Il faut persuader votre interlocuteur que vous êtes adoubé. Surtout ne vous présentez pas comme photographe ; plasticien utilisant le médium photographique semble l’expression la plus adaptée à la période. Elle vous range dans la catégorie des artistes contemporains. Après, égrenez les recommandations les plus fantaisistes. Les noms de directeurs de festival, même rencontrés fortuitement lors d’un cocktail, feront l’affaire. La géographie de la photographie se réduit à peu de choses, aussi, il faut veiller à n’évoquer que les biennales d’Europe Centrale ou, choses rares, les manifestations chinoises ou khmères. Membre du cercle très restreint des photographes reconnus, jamais vous ne prononcez le patronyme de vos pairs, mais vous évoquez au débotté Nan, Andres, Vik, etc., tous croisés à l’occasion de vos nombreux et réguliers projets montés à l’étranger.

La multiplication des visas sur un passeport contribue à la pertinence du personnage que vous créez. New York s’impose comme la référence absolue pour ses vertus indépassables. Ville de prescripteurs, comme dirait Olivier Poivre d’Arvor, vous y apprendrez l’essentiel du métier, à savoir l’anglais et le cynisme. Berlin, il faut y passer. Vous obtiendrez là un certificat authentique d’artiste cosmopolite attirant la sympathie du collectionneur allemand, de bonne compagnie, quoique que chrétien-démocrate (ce qui, pour Thomas Bernhard correspond au national-catholique autrichien). N’insistez pas trop sur vos origines françaises. Ce que vous perdrez en dignité vous le gagnerez en raison. Tous ces voyages coûtent chers. Vos moyens, au début, ne vous permettront pas d’en user autant qu’il serait nécessaire. Je vous engage donc à rencontrer et connaître les arcanes du ministère des Affaires Etrangères. Vous y trouverez adresses, noms de lieux improbables et une collection de conseillers culturels tous disposés à défendre la photographie française, injustement considérée. Sur place, vous découvrirez des lieux aussi inadaptés que les moyens alloués. Mais vous aurez obtenu là les lignes supplémentaires d’un curriculum vitae qu’il vous faut étoffer sans jamais ralentir.

Il est, à la vérité, une vertu sans équivalent dans la possession d’une biographie garnie. Le mensonge doit devenir l’habitude. Rajoutez des lignes à votre curriculum vitae. Combien paraissent misérables, sinon méprisables, et sentant fort la province française, Lannion, Pontault-Combault, Guingamp, Douchy-les-Mines, Lectoure, Cherbourg, et Chalon-sur-Saône. Ornez vos dossiers de villes suédoises, finlandaises, catalanes et arabes. Sharjah, Beyrouth, le rêve oriental renaît. Sans faiblir, d’années en années, les feuilles se remplissent de collections prestigieuses et de fondations vénitiennes. Mentez ! Mentez ! Et que l’on ne considère pas ces tromperies comme une bassesse. Au contraire, elles prouvent un caractère fort, dépourvu de toute morale, un esprit d’entreprise qui saura convaincre le marché de la photographie de votre soumission à ses règles. Alors peut-être, si vous avez suivi à la lettre ces recommandations, Paris Photo vous accueillera, et si l’Espagne existe encore, votre nom illuminera PhotoEspaña.

Vous vous étonnerez de ne pas trouver dans ces considérations un mot sur l’intérêt de la photographie. C’est que je ne considère pas qu’il y ait lieu d’en parler ici. En premier lieu, rien ne vous oblige à croire aux vertus de l’invention de Nicéphore Niépce. Il faut se garantir contre l’envie d’une quelconque utilité du médium. Il n’a jamais été nécessaire d’être croyant pour professer l’amour de Dieu. Etre photographe, c'est-à-dire se penser comme un auteur, c’est piller sans vergogne. C’est nier le caractère mécanique de la machine pour mieux se soumettre à la logique des Beaux-arts. Et pour cela, nulle précaution envers les anciens qui encombrent le marché de la photographie. Vous avez le choix, moquez-les avec des références imparables (Cotton, Chevrier, Frizot, Poivert), ou mieux même, feignez d’ignorer l’histoire de la photographie. Personne n’en n’a jamais tiré grand profit. Un adroit voleur d’idées ne se nourrit que de gros livres d’images, de films sots, de préfaces rapides et de séries télévisées. On doit donc s’assurer que tout cela concorde, non avec la morale et ses principes, avec une quelconque utilité sociale, mais avec la taille des salons bourgeois et des salles d’exposition. Le format ! Voilà la grande affaire de la photographie contemporaine. Seuls les grands formats sont respectables. Si, par surcroît, vous êtes un habile coloriste, on louera votre science. Tout ce que la petite communauté photographique compte de puissants doit pouvoir se recueillir un jour devant tant de culot, d’audace et de nouveauté, quand bien même vous n’aurez que souscrit à des règles déjà bien établies.

Nous pourrions poursuivre encore. Mais je doute que l’on me donne d’autres opportunités de distiller d’aussi utiles avertissements. Alors, donnez-vous à l’inconscience, sans pensée. La seule règle, vous l’avez compris, est de trouver une manière d’être qui convienne au galeriste libéral, au critique humaniste et au fonctionnaire social-démocrate, à ceux qui, gâtés par la vie, n’ont que des soucis décoratifs et des espoirs de décorations. Boire du sang encore et encore. Et si quelques photographes vous font de l’ombre, le meurtre reste la solution ultime. Car si vous voulez parvenir à cet état parfait, non pas de photographe mais d’artiste contemporain, abandonnez toute pitié, oubliez les amitiés et les serments. Jouez, Rastignac, pour être, non à côté de la création, en spectateur, proche du vide, mais en acteur de ce petit théâtre des vanités.

François Cheval


CIRCULATION(S)
Festival Européen de la jeune photographie

Galerie Côté Seine et Trianon - Parc de Bagatelle
Route de Sèvre à Neuilly, Paris 16
Du 22 février au 31 mars 2013.
Entrée libre

26 février 2013

En Ardèche

Un banc, Concluses de l'Aiguillon, Ardèche, 2011
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

25 février 2013

Tous aux bains

Comme un nuage, Nyons, Drôme, 2011
Série Tous aux bains, les rivières - Photo © Yannick Vallet

23 février 2013

Parution

Les 16 téléphonographies et la vidéo de La Feuille (série A l'origine) sont à retrouver dans la revue en ligne DÉRATISME #48.


Merci à toute l'équipe.

22 février 2013

En Normandie

Sentinelles, Omaha Beach, 2012 - Série Un jour, en France
Photo © Yannick Vallet

21 février 2013

En Picardie

Un arbre, Les Plards, Oise, 2012
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

20 février 2013

A l'Ouest

En France, André Mérian fait certainement partie de ceux qui ont aidé à révéler aux yeux de tous, l'intérêt photographique que pouvait avoir les zones périurbaines (voir par exemple, son livre "The Statement" paru en 2006).


Le Pouldu, Juillet 2007, Finistère - Photo © André Mérian

Des lieux qui ne sont plus vraiment la ville et pas encore vraiment la campagne.


Saint Malo, Mai 2009, Ile et Vilaine - Photo © André Mérian

Ces lieux, ce sont par exemple les Zones d'Aménagements Concertés, les fameuses ZAC, avec leurs quartiers pavillonnaires, réservés et conçus pour de jeunes couples aux moyens financiers réduits. Avec des habitations, des locaux commerciaux, des bâtiments trop souvent construits sur le même modèle. Avec ce mélange un tantinet déprimant, de hangars métalliques multicolores et de restaurants formatés sur un fantasme de rêve américain.


Binic, mai 2009, Côtes d'Armor - Photo © André Mérian

Vues de l'extérieur, ces ZAC, toujours un peu vides, jamais vraiment pleines, semblent n'être que des lieux de passage.
Et pourtant …


Bégard, mai 2009, Côtes d'Armor - Photo © André Mérian

Pendant deux ans, André Mérian a sillonné la Bretagne à la recherche des ces lieux étranges (pas que des ZAC !) et en a fait des images étonnantes.


Perros-Guirec, mai 2010, Côes d'Armor - Photo © André Mérian

Des images qui instillent en nous, spectateur, une sorte de douceur diffuse et légèrement cotonneuse. Comme un rêve chloroformé qui nous envelopperait de sa rassurante tiédeur.


Cancale, Juin 2009, Ile et Vilaine - Photo © André Mérian

Ne ratez donc pas ce rendez-vous hors norme, car il ne vous reste plus que quelques jours pour vous rendre aux Douches, la galerie où se déroule l'expo ! Quant au livre, il est édité chez Filigranes.


OUEST (2013)
Editeur : Filigranes Editions


ANDRÉ MÉRIAN : OUEST
Les Douches La Galerie - 5 rue Legouvé - 75010 Paris
Du 19 janvier au 23 février 2013
Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Métro : Jacques Bonsergent

19 février 2013

Zoo, musée et pause-café

Repos à Ruoms, Ardèche, 2011
Série Zoo, musée et pause-café - Photo © Yannick Vallet

18 février 2013

En Ile de France

Boule, Cimetière communal, Clamart, 2009
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

17 février 2013

Gabriele Basilico 1944 - 2013




Alberto Burri outside tobacco drying sheds, Città di Castello (1991)
Photo © Gabriele Basilico




Portrait de Gabriele Basilico © Knulp Malevich

16 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2010 - Série À l'origine
Photo © Yannick Vallet

15 février 2013

Zoo, musée et pause-café

Pliants, Bois de Meudon, 2010
Série Zoo, musée et pause-café - Photo © Yannick Vallet

14 février 2013

Tous aux bains

Les pieds dans le Chassezac, Les Vans, Ardèche, 2011
Série Tous aux bains, les rivières - Photo © Yannick Vallet

13 février 2013

Campagne polonaise

"Le paysage marquait déjà le milieu de l'hiver ; il ne manquait plus que la neige. Le ciel était d'un gris sourd, il y avait de la boue entre les pavés de la route, une eau marron dans les empreintes de sabots des cheveaux de trait. Les peupliers étaient humides, noirs, déplumés, et les champs détrempés se noyaient dans la brume. Sur ma gauche, à cinq mètres, s'étendait le village. Un cheval et une charrette se traînaient en s'éloignant, avec deux silhouettes sur la banquette, dont l'une inclinée sur le côté : un mari ivre ramené du bar par sa femme."

En mémoire de la forêt (In the Memory of the Forest)
Charles T. Powers (1997)

12 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2012 - Série À l'origine - Photo © Yannick Vallet

11 février 2013

A l'origine

La Feuille, 2013 (16 téléphonographies) - © Yannick Vallet
Série A l'origine



La Feuille (2013)
Vidéo 30"

9 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2010 - Série À l'origine  - Photo © Yannick Vallet

8 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2012 - Série À l'origine - Photo © Yannick Vallet

7 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2012 - Série À l'origine - Photo © Yannick Vallet

6 février 2013

Joel Meyerowitz à la MEP

Etonnant comme parfois les mots ne viennent pas. Comme parfois, les phrases ne se forment pas ! Cela fait maintenant deux jours que j'essaie de pondre un texte autour de la rétrospective Joel Meyerowitz, à la Maison Européenne de la Photographie, mais rien ne vient … ou tellement mauvais et inconsistant, que c'en est ridicule.

Red Interior, Provincetown, 1977 - Photo © Joel Meyerowitz

J'avais d'abord l'intention de faire une histoire condensée de la photographie couleur pour les néophytes (l'autochrome, le kodachrome, puis les films négatif …) et l'avènement des petits appareils accessibles à tous, mais je me suis ravisé : je ne suis pas historien et wikipédia fait ça mieux que moi.

Los Angeles Airport, California, 1974 - Photo © Joel Meyerowitz

Puis, autour de cette photographie couleur, je me suis dit qu'une comparaison Amérique du nord/Vieux continent pouvait être pas mal : ça fait toujours sérieux de citer des références (Meyerowitz, Shore, Eggleston, Sternfeld, Wall vs Ghirri, Graham, Mikhaïlov) les européens s'étant mis à la couleur un peu plus tardivement que les américains. Mais ça devenait une espèce de thèse universitaire carrément indigeste !

Woman with cigarette at diner counter, 1962 - Photo © Joel Meyerowitz

D'autres idées m'ont également traversé l'esprit : l'utilisation par les jeunes artistes d'une technologie qui s'est démocratisée ; le besoin irrépressible d'une génération de se démarquer de la précédente ; l'envie de provoquer, de sortir des sentiers battus, d'inventer, etc …

Ballston Beach, Truro, 1976 - Photo © Joel Meyerowitz

Mais finalement, ce qui ressort de mon envie d'écrire autour de cette exposition et de ce photographe, c'est juste que j'aime sa façon d'apréhender la vie. J'aime ses images à la fois sincères et humbles. J'aime son regard qui va bien au-delà de la street-photography ou du photo-journalisme. J'aime son oeil. J'aime sa sensibilité.

New York, 1975 - Photo © Joel Meyerowitz

« Je n'ai pas envie de faire de meilleur images, je veux avoir une expérience du monde qui soit une expérience profonde, qui me fait me sentir vivant, éveillé et conscient. »*

Young Dancer, New York, 1978 - Photo © Joel Meyerowitz

Alors précipitez-vous à la MEP, et laissez-vous emporter par le parcours exemplaire de ce new yorkais originaire du Bronx qui, depuis plus de 50 ans, regarde le monde en toute simplicité.

NYC, 1963 - Photo © Joel Meyerowitz

J'allais oublier : surtout, n'hésitez pas à lire les textes qui sont mis à la disposition du public, et plus particulièrement ceux concernant son passage du noir et blanc à la couleur. Ils sont tous plein d'enseignements …

Roseville Cottages, Truro, 1976 - Photo © Joel Meyerowitz

JOEL MEYEROWITZ : UNE RÉTROSPECTIVE
Maison Européenne de la Photographie
5/7, rue de Fourcy - 75004 Paris
Métro : Saint-Paul

Du 23 janvier au 7 avril 2013
Du mercredi au dimanche de 11h à 20h


* « I'm not interesting in making more good pictures, I want to have an experience in the world that is a deepening experience, that makes me feel alive, awake and conscious. »

5 février 2013

En Picardie

L'arbre et la caravane, Les Plards, Oise, 2012
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

4 février 2013

En Picardie

Carcasse, Labosse, Oise, 2012
Série Un jour, en France - Photo © Yannick Vallet

2 février 2013

A l'origine

Sans titre, 2012 - Série À l'origine 
Photo © Yannick Vallet

1 février 2013

Tous aux bains

Quelques bronzeurs, Sainte-Marie-sur-Mer, 2012
Série Tous aux bains - Photo © Yannick Vallet