"Les tubes à néon que Karl Schultz s’apprêtait à remettre en état éclairèrent une fois de plus les deux pompes à essence d’un jour aveuglant. L’autocar se détachait distinctement sur le fond noir de la nuit, l’homme au masque mortuaire se tenait toujours collé contre la vitre. Mais bientôt la pluie tombant à torrents estompa les contours du personnage et déforma ses traits jusqu’à les rendre méconnaissables."
Kameraden - Hans Hellmut Kirst (1961)